Benoît FRANCHON, est un ancien secrétaire générale de la CGT de 1945 jusqu’à 1967. Il s’adresse aux travailleurs de France, en disant de voter non au référendum du 28 septembre 1958. Il y annonce que c’est une menace contre nos libertés depuis Pétain. Ses arguments sont que les pouvoirs du parlements seront trop limités alors que le président, disposerais, selon lui de trop de pouvoir. L’utilisation abusive de l’État d’Urgence, la fin de nos droits si durement acquis ainsi que de nos droits de se défendre par la grève. Ils sont donc menacés par René Coty et Charles de Gaule.